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Les rencontres dans la vie sont comme le vent. Certaines vous effleurent juste la peau, d'autres vous renversent.

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Napoleon

 

 
  

Dates : 1769-1821

 Rôles : militaire, consul et empereur

 Issu de la petite noblesse corse, il suit l'Ecole militaire et est rapidement promu lieutenant puis capitaine. Grand tacticien, il commande l'artillerie française lors du siège de Toulon, ville tombée aux mains des Anglais. Le 5 octobre 1795, nommé général, Bonaparte réprime l'insurrection royaliste de Paris dirigée contre le Directoire. Ses succès lui valent alors d'être nommé général de division et commandant en chef de l'armée de l'Intérieur. Il devient si populaire que le Directoire l'éloigne de la France : en 1798, il part pour la campagne d'Egypte.
De retour un an plus tard, il participe au coup d'Etat du 18 brumaire qui annonce la naissance du
Consulat et la fin de la Révolution. Premier Consul puis Empereur des Français, il s'illustre par ses conquêtes mais doit abdiquer face à une coalition européenne. Il doit partir en exil sur l'île d'Elbe avant de s'éteindre à Sainte-Hélène.

Le saviez-vous ?
Napoléon a été à l'origine d'institutions qui ont perduré : le Conseil d'Etat, le code civil mais aussi la Banque de France.

 

 

 

 

Les bandits Corses

 

 
 

                 LES BANDITS CORSES

 

Appelés traditionnellement "bandits d'honneur", car ils prenaient en principe le maquis pour des affaires de vendettas où était souvent impliqué l'honneur familial.
En fait, les "bandits" de droit commun étaient la majorité, mais on mettait un "point d'honneur" à ne pas dénoncer. Les traîtres étaient en grande partie dénoncés à leur tour aux "bandits" qui se chargeaient de les exécuter.
Le principal endroit où pouvait se cacher les "bandits corses" se situe entre Tor et le Monte Sant'Appiano, dans les sites magnifiques du Monte Cinto, du Monte Rotondo et dans la région du Niolo. Dans cette nature sauvage et luxuriante où se mêlent le chêne, arbousiers, myrtes, broussailles, torrents et sentiers, se cache des cavernes, grottes et éboulis rocheux qui leurs fournissent un repaire sûr.
Le "bandit" est condamné à vivre seul, au milieu d'un décor idyllique où il partage son existence avec les faucons, les mouflons et autres animaux sauvages.



Les principaux "bandits" des XIXe et XXe siècles sont : les frères Bellacoscia (de Bocognano), Jean-Camille Nicolaï (Carbini), François Bocognano (Cuttoli-Corticchiato), Matteo Poli (Balogna), François-Marie Castelli (Carcheto), Romanetti (Calcatoggio), Joseph Bartoli (Palneca), François Caviglioli (Guagno), André Spada (Lopigna) et Feliciolo Micaelli (Isolaccio-di-Fiumorbo).
En novembre 1931, la gendarmerie mobile détruit des groupes de bandits cachés dans les montagnes.

 


 

 

 

L'histoire de Jean Camille (Ghjan Cameddu) Nicolaï

Préambule
(par Sophie Cauvin-Lucchini)

Parmi les neuf frères et soeurs de Jean Camille Nicolaï, il y avait un frère, Napoléon, qui fut assassiné par le père de sa promise, et deux soeurs dont l'une épousa un Desanti d'Aullène et la fille de l'autre épousa un Lucchini d'Aullène. C'est ainsi que le travail que Suzanne Lucchini a effectué sur l'histoire de son grand-oncle Jean Camille Nicolaï, un des très rares véritables "bandits d'honneurs" que compte la Corse, se retrouvera en ligne sur le site d'Aullène. En attendant de pouvoir lire le fruit de l'étude de Suzanne, vous trouverez ci-dessous quelques éléments de l'histoire de cette terrible et dramatique histoire.


En Alta Rocca, quand une jeune-fille et un jeune-homme faisaient une fugue amoureuse, on disait "so scapati" ("ils se sont
échappés") et leur union était considérée comme un mariage. Ils mettaient ainsi les parents devant le fait accompli et forçaient de cette manière un mariage qu'ils pensaient désapprouvé.

C'est pour cette raison que Napoleon Nicola
ï de Carbini et sa promise Catherine Lanfranchi de Porto Vecchio s'ensauvèrent, pensant obtenir de cette manière le consentement du père de Catherine. Hélas, celui-ci, d'un tempérament réputé colérique et violent, intenta une action en justice contre le jeune-homme et ne trouvant pas la décision du juge assez sévère, assassina Napoleon à la première occasion, reprit sa fille et la séquestra.

 

                     LA VENDETTA

 

 Au XVIIIe siècle des familles rivales s'affrontèrent en Corse, notamment les Cinarchesi et les Biancolacci.
Le parti "rouge" des Rossolacci avec leurs partisans, et les "blancs" des Biancolacci et leurs amis, se faisaient une guerre sanglante.
De 1830 à 1840, Sartène fut la ville où eu lieu de sanglantes vendettas entre les Roccaserra ("les blancs") et les Durazzo, d'un côté, et les Ortoli ("les rouges") ainsi que les Susini de l'autre côté.
Le prétexte à ces affrontements était le conflits entre classes sociales pour une période plus récente, mais généralement c'était l'ambition d'une famille pour supplanter sa rivale en influence.
Sur cette dernière cause tous prétextes justifiaient les hostilités même les plus ridicules : aboiement d'un chien, cadavre d'un âne ou d'une chèvre sur le chemin qu'empruntait un cortège de mariage, un geste intempestif, un regard méprisant. Toutes ces raisons données pouvaient entraîner un déchaînement de violence voire de meurtres.
Rien ne parvint à mettre fin à ces vendettas, ni l'occupation des génois, ni l'interdiction de
Pasquale Paoli car elle dépeuplait des villages entiers. Dans la première moitié du XIXe , certaines vendettas firent jusqu'à soixante victimes.

 Les protagonistes des vendettas étaient protégés par l'omerta (la loi du silence), de ce fait, ils menaient une vie de bandits dont certains furent considérés comme des bandits d'honneur dans le maquis jusqu'au jour où d'assassins ils devenaient victimes.
Les plus célèbres au cours de ces deux derniers siècles furent : les frères Bellacoscia de Bocognano, Nicolaï de Carbini, F-M Castelli de Carcheto, Romanetti de Calcatoggio, A. Spada de Lopigna et Micaelli d'Isolaccio-di-Fiumorbo.
Prosper Merimée nous décrit très bien une vendetta dans son roman "Colomba".
On ne peut ne pas parler des fameux couteaux traditionnels "Vendetta" à manche pliant qui a l'époque de ces fameuses vendettas portaient gravé sur la lame un avertissement : "vendetta corsa, morte al'nemieu" (vengeance corse, mort à l'ennemi) ou "che la mia ferita sia mortale" (que ma blessure soit mortelle).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tino Rossi

 

 
 

Constantin Rossi est né le 29 avril 1907 à Ajaccio en Corse. Fils de tailleur, il fait ses débuts en tant que chanteur, à l'église Saint Roch, puis file sur le continent, pour chanter dans un club à Aix, puis devient chanteur de charme à l'Alcazar de Marseille. En 1925, il monte à Paris, où il vit de petits boulots, en tours de chant à l'ABC. Henri Varna, directeur de l'établissement, le pousse à interpréter ses propres chansons et rapidement, Tino connaît le succès. En 34, il enregistre son premier album Adieu Hawaii, qui se vend à plus d'un demi-million d'exemplaires, chiffre hallucinant pour l'époque. Tino est ensuite recruté par l'industrie cinématographique, pour laquelle il tournera Marinella, Naples, Au Baiser de Feu, Fièvres... Ces films, qui ne sont pas des chefs-d'oeuvre, permettent à Tino Rossi, de se faire connaître du plus grand public et surtout de faire tomber un maximum de femmes! En 41, malgré la gloire et les fans, il se marie avec une jeune comédienne, Lilia Vetti. Pendant les années de la Guerre , Tino s'arrête et revient en trombe en 45, avec le légendaire Petit Papa Noël, qui est encore vendu de nos jours. Il fait un dernier film avec Pagnol La Belle Meunière en 48, et ne retournera plus jamais vers le cinéma. A partir du début des années 50, jusqu'en 82, Tino Rossi parcourt la France en donnant des milliers de concerts, acclamé par un public, qui ne l'a jamais quitté. Tino Rossi s'éteint le 26 septembre 1983 à Neuilly-sur-Seine mais son titre Petit Papa Noël revient chaque année dans les charts à la période de Noël.

 

 

 

Ajaccio

 

 

Ajaccio

La première pierre est posée en avril 1492 sur un promontoire appelé Capo di Bolo à l’emplacement prévu pour une forteresse. Un château fort est alors bâti sur une presqu’île permettant une meilleure surveillance du golfe; il se transformera, au  cours du XVIe siècle, en citadelle. En même temps, se développe la ville qui loge, alors, sept cents habitants. Les maisons génoises sont simples, à un étage. La toiture est en ardoise et les façades sont percées d’ouvertures étroites. Elles étaient parfois colorées selon la tradition ligure (teintées en terre naturelle) ou recouvertes de chaux. <formulas> De la fin du XVIe au début du XVIIe siècle, les constructions d’édifices religieux se succèdent: la cathédrale, et les églises de San Rucchellu, Saint-Érasme (ancienne église des Jésuites) et Saint Jean Baptiste. L’édification de la maison natale de Napoléon, rue Saint Charles, a été commencée au mi-lieu du XVIIe siècle. Acte de fondation de la ville: Au nom du Seigneur, Amen. Que tous ceux auxquels parviendra le présent document sachent ce qui suit: Messire Cristoforo de Gandino, architecte, a été commis par le Magnifique Office de Saint-Georges pour la construction, édification et érection d’une forteresse ou château fort en la localité d’Ajaccio de l’Isle de Corse. (Traduit de l’italien). 

 En 1575, le Sénat de Gênes a concédé à la cité d'Ajaccio des armoiries « d'azur » à la colonne d'argent surmontée des armes de Gênes, accostée de deux lévriers blancs" avec la légende circulaire : "ainsi les Ajacciens envers la république de Gênes".
Dans la première moitié du XVIIIe siècle, ces armoiries furent modifiées en signe d'indépendance à l'égard de Gênes.

 

 

Pascal Paoli

 

 
Pasqual   Paoli

  Il naît dans le hameau dit « a Stretta » du village de Morosaglia, dans une Corse alors sous domination génoise. Il est le fils de Hyacinthe Paoli, nommé conjointement avec plusieurs notables corses chef de la nation avant et depuis le départ du roi Théodore de Neuhoff.

Jeunesse et exil napolitain

En 1739, Hyacinthe Paoli, contraint par les Génois de quitter la Corse secouée par des troubles depuis 1729, choisit de se réfugier à Naples. Il emmène avec lui le plus jeune de ses fils, Pascale, âgé de 14 ans.

 C'est donc en Italie, et plus particulièrement à Naples, que Pascale Paoli reçoit l'essentiel de sa formation. Il est élève à l'École militaire de Naples. Il débute par la suite une carrière dans le régiment royal de Farnèse et porte un regarde attentif dans le même temps sur les évènements qui se déroulent en Corse et la révolte d'une partie de la paysannerie corse appuyée sur les notables contre le pouvoir génois.

 Le généralat En 1755, il est appelé par les principaux chefs corses révoltés contre Gênes[2] pour prendre la tête de l'insurrection pour l'indépendance de la Corse. Pascale Paoli, malgré quelques oppositions internes comme celles d'Emmanuel Matra, devient de fait le chef des révoltés corses : le 14 juillet 1755, il est proclamé Général de la Nation[3] lors d'une consulte tenue au Couvent Saint-Antoine de la Casabianca d'Orezza.

 Durant les premiers mois du généralat, Matra est élu à son tour Général de la Nation. Avec un corps de partisans, il s'oppose et marche contre Paoli ; mais la lutte se termine par la mort de ce général qui meurt au siège du couvent de Bozio. 

 Pascale Paoli il donne à l'île une constitution (constitution corse)[4] fondée sur la séparation des pouvoirs, fonde une université et accorde le droit de vote à tous les citoyens, dont les femmes (veuves ou célibataires). La Corse devint alors le premier État démocratique dans l'Europe des lumières, et Paoli un "despote éclairé", ce qui suscita l'admiration de philosophes comme Rousseau et Voltaire.[5] Paoli défendit la liberté, bien qu'étant élu a vie. La possibilité d'être démis par la diète corse, dominée dans les faits par les chefs de clan, n'étant pas clairement établie. En outre, Paoli se réservait le droit d'inviter de nombreuses personnes non élues à venir siéger dans cette assemblée. Quand à l'université fondée à Corte, elle restait, par les matières étudiées et par ses nombreux professeurs ecclésiastiques, dominée par le catholicisme.

 Aujourd'hui, pas moins de sept villes américaines portent le nom de Paoli City dans l'Indiana, le Colorado, la Pennsylvanie, le Massachusetts, le Connecticut, l'État de New York et le Vermont.[6]

 Sur le plan économique, Paoli introduit en Corse la pomme de terre dès 1756, fonde L'Île-Rousse (1758) dans le but de concurrencer les présides génois d’Algajola et de Calvi, et fait battre monnaie à l’effigie de la nation corse à Murato (1762).

 Une « imprimerie nationale » est créée à Campoloro où sont publiés les « Ragguagli dell’Isola di Corsica », sorte de journal officiel. Il crée une marine de guerre et fait de Corte la capitale de la Nation corse où siège le gouvernement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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